août 2010 : Ayons une grande confiance dans la grâce afin que la Foi soit toujours gardée, défendue et transmise dans sa pureté et son intégrité.

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Bien chers amis et bien chers jeunes amis, L’année sacerdotale s’est conclue par la rencontre exceptionnelle de Benoît XVI avec 15 000 prêtres à Rome. Notre Famille Missionnaire était représentée par cinq frères, qui sont revenus rayonnants de joie et de bonheur.

Toute la Communauté a vécu en direct, grâce à KTO, la veillée avec Benoît XVI, le jeudi soir, et la Messe du lendemain. La première rencontre entre Benoît XVI et ses fils prêtres a été un temps de joie intense. L’ennemi, a dit Benoît XVI, aurait voulu voir disparaître le sacerdoce, mais il a échoué. Notre Pape a tenu bon la barre du Navire de l’Eglise, qui n’a pas sombré dans les violentes tempêtes de cette année sacerdotale. Ne croyons pas trop vite, cependant, que Satan est définitivement vaincu ! De nouvelles tempêtes menacent encore notre Eglise. Notre Pape a demandé pardon à Dieu pour les péchés scandaleux qui ont défiguré le visage de l’Eglise, mais il a dit aussi sa grande souffrance devant cette grande et grave crise : « Il ne s'agit pas non plus d'amour quand on laisse proliférer l'hérésie, la déformation et la décomposition de la foi ».

Au début de ce mois de juillet, nous voulons aussi remercier Dieu pour les Journées de grâce des 12 et 13 juin avec l’ordination diaconale de frère Clément-Marie et les vœux perpétuels des frères Ignace et Martin. Nous nous préparons actuellement à nos activités d’été pour les enfants et les adolescents et nous vous invitons à ne pas avoir peur de participer à la Session de Sens (10-12 juillet). La consigne de cordée devrait vous permettre d’en comprendre l’enjeu. Si la Foi n’était plus transmise fidèlement et dans son intégralité, que serait la Fille aînée de l’Eglise dans quelques années ? Rappelons encore les derniers mots de Jean-Paul II : « Levons-nous ! Allons ! » Transmettons la Foi !

La France vient d’être à nouveau frappée par une catastrophe naturelle dans la région de Draguignan. Plusieurs familles sont éprouvées. Nous le serions également si nous n’avions pas bénéficié de protections que nous pouvons appeler « miraculeuses ». Au moment du plus grand danger, en effet, quatre de nos sœurs étaient à Draguignan pour le catéchisme. Elles désiraient rejoindre en voiture le Foyer de Trans pour retrouver leurs trois sœurs. Elles ont suivi les conseils donnés par les policiers ou les militaires, mais leur voiture aurait pu être emportée par un torrent inattendu si un agriculteur n’avait pas mis son tracteur en travers de la route qui venait de s’effondrer… Nos sœurs ont ainsi été sauvées ! Elles ont trouvé refuge pour la nuit dans une famille. Pendant ce temps, nos trois autres sœurs à Trans accueillaient plus de 30 personnes sinistrées. Nous vous invitons à remercier Dieu avec nous pour ces protections, mais aussi et surtout à prier pour les victimes de cette catastrophe. Les habitants de Draguignan et Trans sont sous le choc. Que ces événements tragiques et douloureux nous aident à ne pas oublier que nous devons vivre aujourd’hui comme si nous allions mourir ce soir. Aidons les hommes de notre temps à se tourner vers Dieu. L’urgence de la mission - plusieurs fois rappelée par Benoît XVI - est le retour de Dieu dans le cœur des hommes. Ce retour, cependant, ne peut pas se faire sans apôtres fidèles pour transmettre la Foi. Prions le Maître de la Moisson…

1) Prière d’introduction :

Viens Esprit de sainteté… Notre Père... Je vous salue Marie… Notre-Dame des Neiges, St Joseph, Bse Eugénie, St Thomas, Ste Maria Goretti, St Benoît, St Henri, Ste Marie Hermine, St Bonaventure, Ste Marguerite, Ste Marie-Magdeleine, Sainte Marthe et Sainte Brigitte, St Charbel, St Jacques, Ste Anne et St Joachim, Ste Colombe, St Ignace, Sts Patrons et Sts Anges gardiens.

2) Efforts :

  • a) Organisons nos journées pour vivre des vacances équilibrées
  • b) prenons du temps pour nous former ;
  • c) osons être des témoins courageux de la Foi.

Parole de Dieu : Mt 5, 1-16.

3) Consigne spirituelle :

a) La Session de Sens sur la transmission de la Foi

La consigne de cordée est en lien direct avec la prochaine Session de Sens sur la transmission de la Foi. Nous avons choisi le thème de cette Session à la suite du voyage apostolique de Benoît XVI en France, mais aussi après avoir entendu ces propos : « il ne faut plus parler de transmission de la Foi ; il n’y a pas de crise de la catéchèse ». Notre Pape avait fait allusion à l’importante Conférence qu’il était venu donner à Paris et à Lyon en 1983, en tant que Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la Foi, lors de son homélie à Notre-Dame de Paris. A Lourdes, avec nos évêques de France, il n’a pas cité sa Conférence mais il en a rappelé l’essentiel : « Vous êtes à juste titre convaincus que, pour faire grandir en chaque baptisé le goût de Dieu et la compréhension du sens de la vie, la catéchèse est d'une importance fondamentale. Les deux instruments principaux dont vous disposez, le CEC et le Catéchisme des Évêques de France constituent de précieux atouts. Ils donnent de la foi catholique une synthèse harmonieuse et permettent d'annoncer l'Évangile dans une fidélité réelle à sa richesse. La catéchèse n'est pas d'abord affaire de méthode, mais de contenu. De cette manière, la catéchèse fait retentir au cœur de chaque être humain un unique appel sans cesse renouvelé : « Suis-moi » (Mt 9, 9). Une soigneuse préparation des catéchistes permettra la transmission intégrale de la foi, à l'exemple de saint Paul, le plus grand catéchiste de tous les temps ». Ces paroles de Benoît XVI nous ont décidés à faire de sa Conférence de 1983 l’objet de notre prochaine Session de Sens (10 - 12 juillet 2010). Elle est toujours d’actualité. Il est urgent de la connaître et de la faire connaître, car l’avenir de notre Eglise dépend de la transmission fidèle et intégrale de la Foi. Peut-on dire que cette transmission est réalisée ?

b) Le discours de Benoît XVI à des évêques brésiliens, ce lundi 21 juin 2010

Au moment où nous priions et réfléchissions pour trouver le titre de notre consigne de cordée, nous avons lu cet extrait du discours de Benoît XVI à des évêques brésiliens : « Vous avez la mission d'enseigner avec audace la vérité à laquelle croire et vivre, en la présentant dans toute son authenticité. Vous devez aider les fidèles qui vous ont été confiés à découvrir la joie de la foi, la joie d'être aimés personnellement par Dieu qui a donné son Fils pour notre salut... Ayez une grande confiance dans la grâce et diffusez cette confiance afin que la foi soit toujours gardée, défendue et transmise dans sa pureté et son intégrité ». Le titre de notre consigne spirituelle était trouvé ! Puisse cette consigne nous convaincre de garder, défendre et transmettre fidèlement et intégralement la Foi en vue de la vraie joie.

c) Avoir confiance en la Grâce sans peur d’aller à contre-courant des modes

Pourquoi notre Pape a-t-il d’abord invité des évêques brésiliens à avoir confiance en la Grâce ? Tout simplement, parce que les évêques doivent être courageux pour remplir leur mission. Le jeudi 10 juin, Benoît XVI disait que, depuis 1946, il avait vu passer trois générations de théologiens. Les hypothèses qui semblaient les plus nouvelles, absolument scientifiques, absolument presque dogmatiques, ont vieilli entre-temps et n'ont plus de valeur ! Beaucoup d'entre elles apparaissent presque ridicules. Mais les prêtres doivent connaître ces hypothèses ainsi que les courants de notre temps afin de pouvoir rendre raison de notre foi. Benoît XVI a encouragé les prêtres à être critiques avec le critère de la foi. Une théologie critique est nécessaire contre les tendances à la mode. Jean-Paul II a donné à l'Eglise un « critère sûr » : le Catéchisme de l'Eglise catholique. Comprenons les appels de Benoît XVI et profitons de ce temps de vacances pour nous former et nous appuyer sur la Grâce de Dieu pour oser transmettre la Foi de l’Eglise malgré les idéologies à la mode qui se présentent comme vérités scientifiques.

d) Gardons la Foi, défendons la Foi, transmettons la Foi

Soulignons les trois verbes utilisés par Benoît XVI dans son discours aux évêques brésiliens : garder, défendre et transmettre.

Saint Paul nous aide à mieux comprendre le premier verbe : « garder ». Dans sa dernière lettre, il écrit à Timothée : « j’ai gardé la Foi » (2 Tm 4, 6). Il fait référence à son combat personnel. Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus sait également ce que veut dire : « garder la Foi ». Elle a été très tentée, mais elle a gardé la Foi par son obéissance, confiante et aimante, envers ceux qui la guidaient de la part de Jésus. Elle ne sentait plus rien, mais avec Saint Paul, elle vivait le « scio cui credidi » = je sais en qui j’ai cru (2 Tm 1, 12). Pouvons-nous dire en vérité en cet été 2010 : « J’ai gardé la Foi » ?

Le deuxième verbe « défendre » révèle « le combat » à mener au service de la Foi. Méditons Ephésiens 6, 10-16. Saint Paul parle des grands adversaires qui nous combattent : le Malin mais aussi tous les anges rebelles. Pour faire front, il faut brandir le « bouclier de la Foi ». Méditons aussi 1 Jean 2, 18-23 : les antichrists nient l’Incarnation. Il faut défendre la vraie Foi. Saint Pierre a été très énergique pour mettre en garde contre les faux prophètes (2 P 2, 1-22) et ne pas laisser égarer les fidèles.

Le troisième verbe « transmettre » révèle l’urgence de la Mission. Jésus nous a commandé d’évangéliser. La transmission de la Foi n’est pas un « job » (mot utilisé par Benoît XVI !) parmi d’autres pour les chrétiens, mais elle est leur mission prioritaire. En sommes-nous convaincus ?

e) La pureté et l’intégralité de la Foi

Au cours de notre Session, nous développerons davantage la pensée de Benoît XVI. La pureté de l’eau jaillissant en sa source peut nous aider à comprendre ce qu’est la pureté de la Foi. Où trouver cette pureté de la Foi ? Dans le Cœur de Jésus, bien sûr ! Là, elle jaillit comme l’eau pure en sa source. C’est dans l’Eglise que nous rencontrons Jésus. C’est dans l’Eglise que nous pouvons puiser à la source non contaminée. Le Catéchisme de l’Eglise Catholique nous transmet la pureté de la Foi apostolique, authentiquement interprétée par le Magistère et la Tradition. Les « théories » exégétiques ou théologiques, disait le Cardinal Joseph Ratzinger, sont importantes pour aider à mieux comprendre la Foi de l’Eglise, mais ces sources ne peuvent pas et ne doivent pas remplacer la Source qu’est la Foi de l’Eglise. Benoît XVI nous appelle à développer un sain esprit critique. Des théories à la mode « souillent » encore aujourd’hui la pureté de la Foi de l’Eglise comme les produits toxiques, déversés dans les rivières ou les fleuves, souillent l’eau pure venant de la source.

Que signifie l’intégralité de la Foi pour notre Pape ? Interrogeons les adolescents qui ont reçu le sacrement de confirmation ou fait leur profession de Foi. S’ils ne connaissent pas les 12 articles du Credo, les 7 sacrements, les 10 commandements de Dieu et la prière du Notre-Père, c’est le signe qu’on ne leur a pas transmis l’intégralité de la Foi. Le Cardinal Joseph Ratzinger, en 1983, a courageusement rappelé qu’il fallait revenir au catéchisme en vue de la transmission intégrale de la Foi.

f) La conférence du Cardinal Joseph Ratzinger en 1983 et la crise de la catéchèse

Le Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi avait utilisé 7 fois le mot « crise » dans sa Conférence, qui commençait par ce titre : « La crise de la catéchèse ». Il a analysé en profondeur cette crise, découlant de la crise de l’exégèse et de la crise de la théologie.

L’exégète qui se coupe de la Tradition et du Magistère risque de s’enfermer dans la prison de sa raison. Le contact direct avec la Bible a, certes, sa valeur. Retrouver la fraîcheur du texte biblique est important. Mais le catéchisé ne peut pas lire la Bible sans l’aide de la Tradition et du Magistère. L’expérience personnelle et l’expérience du groupe ne permettent pas de « découvrir » la Foi de l’Eglise, parce que la Foi est fruit de la Révélation qui vient d’En-Haut, du Cœur de Dieu par les prophètes et, en plénitude, par Jésus. Elle ne peut donc qu’être « transmise » par les envoyés de Jésus.

Dans la théologie, disait encore le Cardinal Ratzinger, on a délaissé, voire méprisé, le dogme qui a été jugé comme « dépassé ». Nous constatons aujourd’hui les graves conséquences de cette crise : le mystère de la Sainte Trinité devient incompréhensible si l’on n’est pas fidèle au dogme de Nicée-Constantinople en abandonnant le mot consubstantiel (beaucoup de baptisés sont incapables de dire à des musulmans que nous n’adorons pas trois dieux mais un seul Dieu en Trois Personnes); le mystère de la création est réinterprété (on n’enseigne plus le monogénisme mais le polygénisme) ; le péché originel n’est pratiquement pas enseigné dans la fidélité au Concile de Trente; le mystère du Christ est édulcoré (Jésus n’est pas une personne humaine mais la Personne divine du Fils de Dieu qui possède les natures divine et humaine); le dogme de la « transsusbtantiation » est délaissé (voici ce qu’on peut lire dans « Points de repère » - magazine des instances nationales de la catéchèse en France - de mai-juin 2010, page 33 : « L’hostie reste du pain, et le Christ ne vient pas dans l’hostie, comme s’il se glissait entre les particules. Sinon les chrétiens seraient de sacrés anthropophages ! L’hostie a l’air d’être du pain mais elle ne l’est pas seulement. Pour les catholiques et les orthodoxes, elle manifeste, après la consécration, la présence réelle du Christ. Car ce pain donné, partagé, est le signe que Jésus a choisi pour manifester la présence réelle du Christ ») ; les fins dernières sont délaissées (Saint Ignace dans ses Exercices parlait pourtant de l’enfer et de la damnation. La Sainte Vierge à Fatima a fait voir aux trois petits enfants l’enfer et les âmes qui y tombaient) ; la vie éternelle n’est pratiquement plus annoncée (si l’on ne parle plus de vie éternelle, on ne s’intéresse qu’à cette vie terrestre); le mystère de la Croix rédemptrice est diminué… Benoît XVI est conscient de la crise de la théologie. Il en souffre et c’est la raison pour laquelle, il disait aux prêtres, le 11 juin dernier : « L'Église aussi doit utiliser le bâton du pasteur, le bâton avec lequel elle protège la foi contre les falsificateurs, contre les orientations qui sont, en réalité, des désorientations. L'usage même du bâton peut être un service d'amour ».

g) Conseils du Cardinal Joseph Ratzinger pour surmonter la crise de la catéchèse

Le Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi n’était pas venu à Paris et Lyon en 1983 en « père fouettard » mais en représentant du Pasteur qu’était Jean-Paul II, en Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, dont le grand désir était le renouveau de la catéchèse dans la fidélité à la Tradition de l’Eglise. Il n’hésitait pas à dire en conclusion de sa Conférence : «Il faut oser présenter le catéchisme comme un catéchisme ». Quelques années après cette Conférence, Jean-Paul II osait faire un acte très important : promulguer le Catéchisme de l’Eglise Catholique.

Le Cardinal Joseph Ratzinger, cependant, invitait le catéchiste à l’adaptation, en imitant Jésus qui savait s’adapter à la condition de chacun. Il faisait remarquer avec humour : « L’étonnant pour nous est cependant que le Catéchisme Romain ait laissé au catéchiste beaucoup plus de liberté que ne le fait généralement la catéchétique actuelle. En effet, il laisse à l’initiative de l’enseignant l’ordre à adapter dans sa catéchèse en fonction des personnes et des circonstances ».

Mais la liberté laissée aux catéchistes n’est pas liberté par rapport au contenu de la Foi. Le Cardinal Ratzinger a été très courageux pour dire : « La misère de la catéchèse nouvelle consiste en définitive en ceci : on a un peu oublié de distinguer le « texte » de son « commentaire ». Le « texte », c’est-à-dire le contenu proprement dit de ce qu’il faut annoncer, se dilue de plus en plus dans son commentaire ». Que voulait signifier le Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la Foi ? Ceci : le commentaire de la Foi ne doit pas remplacer le contenu de la Foi. « Cela nous oblige d’autant plus à sauvegarder notre foi ecclésiale comme un bien commun », disait encore le Cardinal Ratzinger.

h) Aidons notre Pape à remporter le grand défi de la transmission fidèle de la Foi

La conclusion de l’homélie de Benoît XVI, le 11 juin dernier à Rome, devrait nous aider à comprendre l’importance et l’urgence du défi de la transmission fidèle de la Foi : « Dans la foi, nous buvons, pour ainsi dire, de l'eau vive de la Parole de Dieu. Ainsi, le croyant devient lui-même une source, et offre à la terre desséchée de l'histoire l'eau vive. Nous le voyons chez les saints. Nous le voyons avec Marie qui, femme grande en foi et en amour, est devenue au long des siècles source de foi, d'amour et de vie. Chaque chrétien et chaque prêtre devrait, à partir du Christ, devenir une source qui communique la vie aux autres. Nous devrions donner l'eau de la vie à un monde assoiffé. Seigneur, nous te remercions parce que tu as ouvert ton cœur pour nous ; parce que dans ta mort et dans ta résurrection tu es devenu source de vie. Fais que nous soyons des personnes vivantes, vivantes de ta source, et donne-nous de pouvoir être nous aussi des sources, en mesure de donner à notre temps l'eau de la vie ».

i) Pour bien organiser notre temps de vacances

Vous pourrez reprendre l’essentiel de ce que nous avons écrit dans les dernières consignes de cordée de juillet et chercher un juste équilibre pour le sain repos des corps et des âmes sans délaisser l’activité intérieure intense.

Seigneur Jésus, apprenez-nous à être généreux, à vous servir comme vous le méritez, à donner sans compter, à combattre sans souci des blessures, à travailler sans chercher de repos, à nous dépenser sans attendre d’autre récompense que celle de savoir que nous faisons votre sainte volonté.

Consécration à la Sainte Vierge : Ô Notre-Dame, nous nous confions en vous, en votre obédience bénie et en votre garde très spéciale. Aujourd’hui et chaque jour nous vous confions nos âmes et nos corps. Nous vous confions tout notre espoir et toute notre consolation, toutes nos angoisses et nos misères, notre vie et la fin de notre vie, pour que, par votre très sainte intercession et par vos mérites, toutes nos actions soient dirigées et disposées selon votre volonté et celle de votre Fils. Amen

Nous confions à vos prières notre colonie et nos camps d’adolescents (tes) de ce mois de juillet, les Retraites et le pèlerinage des jeunes en vélo de Tours à St Pierre de Colombier au mois d’août. Nous vous invitons, le dimanche 5 septembre, à participer aux vœux perpétuels de nos sœurs Marie Catherine et Rose Marie. Notre pèlerinage de rentrée aura lieu en Provence (11-13 septembre). Il permettra de mieux connaître et prier les amis de Jésus (Lazare, Marie Magdeleine, Marthe) et de découvrir de hauts lieux spirituels de la Provence (Cotignac et les Saintes Maries de la Mer). En union avec Mère Magdeleine, je vous souhaite de bonnes vacances et vous assure de la prière de tous les membres de notre Famille Missionnaire et je vous bénis affectueusement en nous confiant à vos prières.

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