Parler du Ciel à ceux qui pourraient douter de la vie éternelle.  N’hésitez pas à partager vos expériences et à faire part de vos témoignages : inaltum@fmnd.org, (ou In Altum, Famille Missionnaire de Notre Dame, 07 450 Saint Pierre de Colombier).

Prévoir dans sa prière un temps pour penser aux âmes du purgatoire, et davantage appeler les saints du ciel à notre aide pendant le journée.

« Quelle ne sera pas ta gloire et ton bonheur : être admis à voir Dieu, avoir l’honneur de participer aux joies du salut et de la lumière éternelle dans la compagnie du Christ le Seigneur ton Dieu, […] jouir du royaume des cieux dans la compagnie des justes et des amis de Dieu, des joies de l’immortalité acquise. »  Saint Cyprien

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent dans la paix.

1^er novembre : Toussaint 2 novembre : Défunts 4 novembre : saint Charles Borromée 9 novembre : Dédicace de la basilique du Latran 11 novembre : saint Martin de Tours 16 novembre : sainte Gertrude 18 novembre : Dédicace des basiliques Saint Pierre et Saint Paul 21 novembre : Présentation de la Vierge Marie au Temple (fête des religieux) 21 novembre : Christ Roi 22 novembre : saint Cécile 28 novembre : Avent 30 novembre :saint André

- Pour les âmes du purgatoire - Pour les chrétiens persécutés - Pour le Pape et ses intentions - Pour les religieux (fête le 21), pour qu’ils aient des vocations - Pour la France (armistice) - Pour l’Église, que la fête des deux dédicaces lui obtienne beaucoup de grâces.

Benoît XVI a modifié ses armoiries pontificales, faisant réapparaître la tiare. Qu’est-ce ? Voici l’explication donnée par le site du Vatican : « Le Trirègne (la Tiare papale formée de trois couronnes symbolisant le triple pouvoir du Pape: père des rois, régent du monde, Vicaire du Christ) du XVIII^ème siècle, avec lequel est couronné le Saint Pierre de bronze le 29 juin, fête du saint. L’usage de la Tiare, rituel dans les cérémonies solennelles, a été abandonné depuis le Pontificat de Paul VI. La Tiare est un haut couvre-chef se terminant en ogive et de couleur argentée, auquel s’appliquaient au temps de Boniface VIII deux couronnes, et à partir de 1314 trois couronnes (raison pour laquelle elle est appelée trirègne), surmonté d’un petit globe et d’une croix d’or. Parmi les diverses interprétations, nous citerons celle qui veut que les trois couronnes représentent l’Église militante, celle souffrante et celle triomphante. La forme du Trirègne a varié au cours des temps. Nous le trouvons représenté plus ou moins bombé, et dans certains cas dépourvu du globe et de la petite croix. D’autres fois encore, la position des infules (les deux rubans ornés chacun d’une petite croix pattée) est modifiée. »