Pour un carême plein de joie et d’humour !
Avoir une Foi confiante et inébranlable pour être un témoin courageux de Jésus :
Dans un avion, l’hôtesse annonce au microphone :
- Chers passagers, notre pilote nous demande si, parmi vous, il y a un chrétien fervent ? »
Le pasteur Müller qui, ce jour-là, se rend en mission, fier de pouvoir témoigner de sa foi, lève la main et répond ainsi à l’appel.
- Vous avez vraiment une foi forte, sans faille ? C’est sûr ?
- Aucun problème, madame !
- ah ben Bravo ! Car nous étions en souci car l’avion est en feu, et il nous manque un parachute !
Huiles (saintes) : Seigneur fais de nous des « cruches » et des petits instruments dociles à ton Esprit Saint !
Une histoire qui décoiffe : elle se passe à la messe chrismale, au moment du Jeudi saint où l’évêque bénit les saintes huiles et le Saint Chrême.
L’évêque dit à mi-voix au servant de messe :
- Décoiffez la cruche.
Le servant de messe ne comprend pas, s’approche et enlève la mitre de la tête de l’évêque. L’évêque rit et, toujours à mi-voix, ajoute :
- Non, pas celle-là, l’autre !
L’amour du prochain a son importance durant le carême, particulièrement envers les plus petits… « ce que vous avez fait à l’un de ces petits c’est à moi que vous l’avez fait »
Au catéchisme, le prêtre commente la parabole du bon Samaritain et le rôle du prochain.
- Mes enfants, qui est notre prochain ?
- Notre prochain ? C’est le bébé ! répond Agathe.
- Comment cela ?
- Ben oui, maman, elle dit tout le temps à tout le monde : « J’attends mon prochain. »
Annonce paroissiale
Lue sur le panneau d’affichage d’une église : « À tous ceux qui ont des enfants et qui ne le savent pas encore, il y a dans la paroisse un espace réservé aux enfants. »
Petit dictionnaire de carême
Carême : ce mot provient de la contraction du mot latin quadragesima qui signifie « quarantième ». C’est pourquoi le carême lest parfois appelé a « Sainte Quarantaine ». La durée de quarante jours commémore à la fois les quarante jours et quarante nuits du jeûne de Jésus au désert mais aussi le jeune de Moïse avant le don des Tables de la Loi .
Carnaval : les quelques jours qui précèdent le carême sont fêtés par des carnavals. Ces carnavals trouvent leur origine dans des antiques fêtes païennes et ont été intégrées plus ou moins officieusement dans le calendrier chrétien. Les jours de carnaval peuvent s'étaler sur une période de plusieurs jours, qu'on appelait Carême-Prenant. Le mot « carnaval » vient de l'italien carnevale ou carnevalo. Il a pour origine carnelevare, un mot latin formé de carne « viande » et levare « enlever ». Il figure ainsi l’entrée dans le jeune du Carême.
Septuagésime : le temps liturgique de la Septuagésime (du latin septuagesimus : « le 70e ») introduisait autrefois une période d'environ 70 jours précédant Pâques (en fait, neuf semaines, soit 63 jours). Il succédait au temps liturgique de Noël et précédait le Carême. Symboliquement, ces « soixante-dix » jours correspondaient aux soixante-dix ans de la captivité du Peuple d’Israël à Babylone durant l’Exil. Dans le symbolisme biblique et liturgique, Babylone représente la cité terrestre corrompue, qui s'oppose à Jérusalem, la cité de Dieu. La captivité de Babylone symbolise donc le temps des épreuves, des difficultés, de la lutte contre la tentation et le péché.
Violet : composé par le mélange des couleurs rouge et bleu, la couleur violette symbolise liturgiquement la rencontre de l’homme et de Dieu. En effet, dans l’iconographie chrétienne, le rouge est le signe de la divinité et le bleu, la couleur de l’humanité. A Noël, Dieu entre dans le temps des hommes. A Pâques, l’homme entre au plus intime de la vie de Dieu. Ceci étant, on comprend mieux pourquoi la couleur violette est utilisée durant l’Avent et pendant le Carême qui préparent les deux fêtes susdites. Le violet est utilisé aussi pour le sacrement de la confession qui unie l’homme pécheur à Dieu. Il est aussi utilisé au moment des funérailles chrétiennes, signifiant par là l’entrée du baptisé dans l’éternité de Dieu.