août 2010 : Partageons la conviction de Benoît XVI au terme de son voyage en France : les temps sont propices à un retour à Dieu

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Bien chers amis et jeunes amis,

Dans le billet de la semaine dernière, qui accompagnait notre programme général, nous vous avons informé de notre nouvelle Fondation à Sainte Maxime. Avec cette consigne de cordée, nous voulons vous faire-part d’une nouvelle joie : la rentrée de deux nouveaux frères en ce 5 septembre. Nous en rendons grâce à Dieu avec vous et nous voulons vous remercier chaleureusement de vos prières et de vos sacrifices pour les vocations. Continuons à frapper sur le Cœur de Dieu le Père pour qu’Il envoie de nouveaux ouvriers pour sa Moisson qui est abondante.

Il nous a semblé important - pour cette « consigne de rentrée » - de reprendre la conviction de Benoît XVI à l’aéroport de Tarbes, le 15 septembre 2008 : « J'ai voulu partager avec les évêques ma conviction que les temps sont propices à un retour à Dieu ».

Nous confions à vos prières nos sœurs Marie-Catherine et Rose-Marie qui feront leurs vœux perpétuels, ce dimanche 5 septembre. Nous préparons le pèlerinage en Provence (11-13 septembre). Il est encore possible d’y participer. Des départs sont prévus à partir de chacun de nos Foyers (car, minibus ou voiture). Ce pèlerinage sera très riche spirituellement. Il vous permettra de mieux découvrir les racines chrétiennes de la France, Fille aînée de l’Église. Lazare, Marie-Magdeleine, Marthe, Maximin et trois autres chrétiens ayant vu et entendu Jésus sont arrivés à Marseille, quelques années seulement après la mort de Jésus. Lazare et Marie Magdeleine ont évangélisé les habitants de cette ville. Lazare en a été le premier évêque. Marie-Magdeleine a vécu ensuite en ermite dans la grotte de la Sainte Baume. Saint Maximin (l’un des 72 disciples de Jésus) a évangélisé la ville qui porte son nom. Marthe a évangélisé Tarascon et éduqué des femmes à la vie évangélique. Aux Saintes Maries de la Mer, se sont sanctifiées Sainte Marie Salomé, la mère des apôtres Jacques le Majeur et Jean ; et Sainte Marie Jacobé, qui, selon les traditions locales, serait la nièce de la Sainte Vierge, la mère des apôtres Jacques le mineur, Jude et Simon ainsi que du disciple José. Si cette tradition est vraie Marie Jacobé serait, de fait, Marie de Cléophas. La divine Providence a permis à la Sainte Vierge et à Saint Joseph d’apparaître à Cotignac, qui est devenu un lieu de grâces. Ceux qui sont intéressés peuvent encore participer à ce pèlerinage, qui sera riche en grâces.

Nous continuons à vous inviter à participer à l’un des Cénacles qui seront présidés par Don Gobbi en France : le mardi 21 septembre à Saint-Nicolas de Port (près de Nancy), le jeudi 23 à Lisieux, le samedi 25 à Blois, le 27 à Lyon, le 28 chez nous à St Pierre-de-Colombier, le 29 à Marseille ou le 1er octobre à Bayonne. La Vierge Marie a demandé par Don Gobbi la consécration des prêtres à son Cœur immaculé. Le programme des Cénacles sera le même partout : 15h-18h : chapelet, Messe, prédication, consécrations des prêtres puis de tous au Cœur immaculé de Marie.

1) Prière d’introduction :

Viens Esprit de sainteté… Notre Père... Je vous salue Marie… ND des Neiges, St Joseph, Bse Dina, Bse Mère Térésa, St Jean Gabriel, St Grégoire le Gd, St Jean Chrysostome, St Padre Pio, St Vincent de Paul, Ste Thérèse Couderc, Sts Michel, Gabriel et Raphaël, St Jérôme, Saints Patrons, Saints Anges gardiens, Ste Thérèse de l’Enfant Jésus.

2) Efforts :

Bien prévoir la rentrée pour mieux organiser sa vie, travailler et agir avec méthode. Servons-nous mieux des rubriques du carnet de cordée mises au point par le Père et Mère Marie Augusta. Elles sont très concrètes et permettent une vie équilibrée en donnant à Dieu la première place. Si notre vie est mieux équilibrée, nous vivrons dans le calme et sans agitation ce mois de rentrée et toute notre année.

Parole de Dieu : Lc 15, 11-31.

Cette parabole devrait nous aider à mieux comprendre la conviction de Benoît XVI : les temps sont propices à un retour à Dieu.

3)Consigne spirituelle

a) Que signifie l’expression « temps propices » utilisée par Benoît XVI ?

Qui n’a pas été étonné par la conviction de Benoît XVI au terme de son voyage apostolique en France ? La situation réelle de la France ne pouvait absolument pas la motiver. Benoît XVI, certes, avait été très bien reçu par les autorités politiques de notre pays. Les Médias avaient remarquablement couvert l’événement. Les fidèles s’étaient déplacés en nombre. Mais un homme réfléchi et prudent comme Benoît XVI ne pouvait pas se fonder sur cet enthousiasme d’un moment pour dire que les temps étaient propices à un retour à Dieu ! Pour nous, la phrase de notre Pape était une prophétie et un appel aux baptisés à participer activement à la nouvelle évangélisation.

b) Le retour à Dieu dans la pensée du Cardinal Joseph Ratzinger

Le 14 novembre 2004 à Ostie, en présence des reliques de Saint-Augustin, le Cardinal Joseph Ratzinger avait comparé l'histoire d'Augustin à celle du fils prodigue, la présentant comme le paradigme du retour attendu vers la maison du Père de toute la culture du monde occidental et de l'Europe en particulier. L’Europe, disait-il, est devenu un pays éloigné de Dieu, si loin que le nom de Dieu ne doit plus apparaître dans notre constitution. Dans ce pays lointain, avec toutes les libertés qu'on nous permet, nous sommes nous aussi des esclaves du mode de vie imposé, que les modes nous imposent, nous ne sommes plus vraiment libres. Et la vie, au lieu d'être riche, est pleine de désillusions. Et quand nous voyons ce marché des mots, ce marché des divertissements, des idéologies, n'est-il pas vrai que nous mangeons les restes des cochons ? Le Cardinal Ratzinger reparlait ensuite de l’expérience d’Augustin qui revint à son cœur car il sentait "le grand vide qui tuait son temps, ces mensonges de la rhétorique où il était enfermé, étant titulaire d'une chaire à la Maison impériale de Milan. Son orgueil intellectuel lui interdisait toutefois d'entrer dans la foi des simples, jusqu'à ce qu'il fît cette grande découverte, que le Verbe était Fils de Dieu. Non pas n'importe quel Dieu, mais un Dieu d'amour, comme symbolisé par le Père du fils prodigue. Lui nous fait monter là où nous ne pouvons pas arriver, parce qu'en Jésus, c'est Dieu qui est descendu jusqu'à nous. Ce n'est pas nous qui nous sauvons, mais Dieu qui nous sauve. Il terminait par cette prière : "Prions le Seigneur qui est amour, pour l'Europe: qu'il nous accorde de revenir au cœur, de revenir de ce pays loin de Dieu et du cœur, et de retourner à nos cœurs, de retrouver la maison, de retrouver les racines chrétiennes qui nous donnent la vie". Nourrissons-nous de ce texte lumineux et prophétique, qui nous permet de mieux comprendre la conviction profonde et longuement réfléchie de Benoît XVI sur les temps propices à un retour à Dieu. La situation favorable ne vient pas du fait que nos contemporains cherchent Dieu plus intensément, mais parce qu’ils font l’expérience de l’enfant prodigue au moment où il en est réduit à manger les « caroubes » des cochons que personne ne lui donnait (Lc 15, 17). Les déceptions, les désillusions, le vide intérieur, le découragement créent, en quelque sorte, cette situation favorable qui pourrait permettre à l’homme européen de dire avec l’enfant prodigue et Augustin : « je vais retourner vers mon Père… » L’homme a été créé pour Dieu. Son Bonheur n’est qu’en Lui !

c) Benoît XVI nous appelle à nous laisser convertir par la Vérité qu’est Dieu

Ce mercredi 26 août, Benoît XVI disait : « Je voudrais souligner encore une fois un aspect important de l’expérience humaine et chrétienne d’Augustin, également actuel à notre époque où il semble que le relativisme soit paradoxalement la « vérité » qui doit guider la pensée, les choix, les comportements. Saint Augustin est un homme qui n'a jamais vécu de manière superficielle ; la soif, la recherche tourmentée et constante de la Vérité est l'une des caractéristiques de fond de son existence ; mais pas cependant des « pseudo-vérités » incapables d'apporter une paix durable dans le cœur, mais de cette Vérité qui donne un sens à l'existence et qui est « la demeure » dans laquelle le cœur trouve la sérénité et la joie. Son chemin, nous le savons, n'a pas été facile : il a pensé trouver la Vérité dans le prestige, dans la carrière, dans la possession des choses, dans les voix qui lui promettaient un bonheur immédiat ; il a commis des erreurs, il a traversé des moments de tristesse, il a affronté des échecs, mais il ne s'est jamais arrêté, il ne s'est jamais contenté de ce qui lui apportait seulement une étincelle de lumière ; il a su regarder au plus profond de lui-même et il s'est rendu compte, comme il l'écrit dans les « Confessions », que cette Vérité, ce Dieu qu'il cherchait de toutes ses forces était plus proche de lui que lui-même. Il avait toujours été à ses côtés, il ne l'avait jamais abandonné, il était dans l'attente de pouvoir entrer de manière définitive dans sa vie. Il a compris, dans sa recherche tourmentée, que ce n'est pas lui qui a trouvé la Vérité, mais que c'est la Vérité elle-même, qui est Dieu, qui l'a cherché et qui l'a trouvé. Je voudrais dire à ceux qui vivent «comme si Dieu n'existait pas» de ne pas avoir peur de la Vérité, de ne jamais interrompre le chemin vers celle-ci, de ne jamais cesser de rechercher la vérité profonde sur soi-même et sur les choses avec l'œil intérieur du cœur. Dieu ne manquera pas de nous donner la Lumière pour nous faire voir et la Chaleur pour faire sentir à notre cœur qu'il nous aime et qu'il désire être aimé ». Combien ces paroles sont lumineuses ! N’ayons pas peur de les faire connaître à nos amis et à ceux qui ne partagent pas notre Foi. Les conséquences du péché originel et des péchés personnels obscurcissent l’intelligence et la conscience, mais elles ne peuvent pas anéantir totalement le lien entre intelligence et vérité. Ce lien existe, parce que Dieu Vérité est l’unique Créateur de l’âme humaine. L’homme post-moderne ne peut pas se satisfaire du relativisme. Son intelligence ne peut être comblée que par la Vérité objective qui existe, et qui nous cherche, afin de nous trouver, comme elle a trouvé Augustin !

d) Convertir sa volonté à la recherche du vrai bien de l’homme et de tous les hommes

L’intelligence humaine est orientée vers la vérité et la volonté libre vers le bien. Cette double orientation est inscrite par Dieu dans la personne humaine, créée à son image et à sa ressemblance. Il n’est pas facile de ne chercher que le bien et d’être déterminé à renoncer au mal. Jean-Paul II, 9 jours après son élection, disait : « Chacun de nous se posera la question : Mon programme de vie tend-il à mon vrai bien ? Tend-il à la réalisation de mon salut, tel que le veulent le Christ et l'Église ? L'étudiant et l'étudiante qui m'écoutent aujourd'hui, le garçon et la fille, considéreront sous cet éclairage leurs devoirs de classe, leurs lectures, leurs passe-temps, le choix de leurs amis et amies. Le père et la mère de famille qui m'écoutent, penseront à leurs devoirs d'époux et de parents. Sous ce même éclairage, le ministre ou l'homme d'État considérera ses devoirs et ses responsabilités. Cherche-t-il le vrai bien de la société, de la nation, de l'humanité ? Ou n'a t-il en vue que des intérêts particuliers ? Si j'ai parmi mes auditeurs un journaliste, un publiciste ou une personne qui a une influence sur l'opinion publique, il réfléchira sur la portée de son influence. Puisse l'Église, fortifiée par les dons du Saint-Esprit et en particulier par le don de Conseil, s'insérer efficacement dans cette grande marche vers le bien de tous, et montrer à tous la voie du Salut éternel ». Jean-Paul II parle de « mon vrai bien ». Ce vrai bien est-il subjectif ou objectif ? Jean-Paul II, dans Veritatis Splendor, Benoît XVI, en divers enseignements, nous ont donné une réponse claire : le bien moral est objectif, car il ne dépend pas de notre subjectivité mais de la Loi naturelle qui vaut pour tous les hommes. Dieu a fait connaître l’essentiel de cette Loi naturelle par la révélation des 10 Commandements. Convertir sa volonté au vrai bien, c’est vouloir obéir au décalogue et respecter tous les Droits de l’homme.

e) Convertir son cœur au bel amour dans la vérité

Benoît XVI, comme Jean-Paul II, parle de l’amour dans la vérité. Il sera bien difficile au cœur humain de s’ouvrir à Dieu s’il refuse de se convertir au bel amour dans la vérité. Pour notre Saint-Père, le seul remède aux maux de notre humanité est l’Amour de Dieu. Sa première lumineuse Encyclique porte sur cet Amour qui est le modèle parfait et la source de tout amour humain. Mais pour aimer dans la vérité, il faut mener un persévérant combat spirituel contre l’égoïsme. Ce combat spirituel n’engendre pas la tristesse mais la vraie joie. Jésus est le modèle parfait de l’amour dans la vérité : Il a donné sa vie pour ses amis et pour ceux qui L’ont condamné à mort.

f) Participer avec zèle et détermination à la Mission de l’Église en ces temps propices

La conviction de Benoît XVI (les temps sont propices à un retour à Dieu) devrait nous donner davantage de zèle et de détermination en ce temps de rentrée pour participer à la Mission de l’Église. En ce dernier lundi, la liturgie de la Parole nous a donné à méditer un extrait de la première lettre de Saint Paul aux Corinthiens. L’apôtre des Nations écrivait aux membres de cette Église qu’il était venu chez eux dans la faiblesse, craintif et tout tremblant. Son langage, sa proclamation de l’Évangile, n’avaient rien à voir avec le langage d’une sagesse qui veut convaincre ; mais c’était l’Esprit et sa puissance qui se manifestaient. Ce que l’Esprit Saint et sa puissance ont réalisé pour féconder la prédication de Saint Paul, pourquoi ne le réaliseraient-ils pas aujourd’hui pour rendre fructueux notre témoignage ? Levons-nous ! Allons ! Soyons zélés, déterminés et convaincus. Les enfants prodigues de notre temps, déçus par les faux dieux après lesquels ils ont couru en vain, ont soif - même s’ils ne le savent pas toujours - de trouver Dieu dans le vrai visage de Jésus. Ne soyons pas timides pour témoigner de Notre-Seigneur, vrai Dieu et vrai homme ! Avec Benoît XVI, aidons les hommes de notre temps à chercher et à trouver la vérité, ou plutôt à se laisser trouver par elle. Ne soyons pas timides non plus pour transmettre fidèlement et intégralement les Vérités révélées aux catéchumènes et aux baptisés et pour en témoigner auprès de tous. Les hommes de bonne volonté, les scientifiques et tous ceux qui ont du bon sens ne peuvent pas rester indifférents face à la Vérité révélée. Le monde ne s’est pas fait tout seul. L’être humain n’est pas le fruit du hasard et de la nécessité. L’intelligibilité du monde et de tout ce qui existe ne peut pas provenir de l’inintelligible. L’ordre du monde postule l’existence de la Vérité objective qu’est Dieu.

Dans le domaine moral, les temps sont encore plus propices au retour à Dieu. Beaucoup de nos contemporains sont effrayés devant la dégradation des mœurs : jusqu’où va-t-on aller ? L’amour humain n’a jamais été aussi défiguré, la vie n’est plus respectée, la violence et la haine grandissent et engendrent d’innombrables souffrances, le fossé entre riches et pauvres ne cesse de grandir, l’égoïsme tue l’altruisme ou la « charité », beaucoup ne regardent que « leur bien » et ne se préoccupent absolument pas du bien de leurs frères et sœurs. Il est urgent de témoigner de la Loi naturelle révélée dans les 10 Commandements de Dieu. Imitons le courage de Saint Jean-Baptiste dont nous venons de fêter le martyre. Ne soyons pas des chiens muets en ce qui concerne le plan de Dieu sur la famille et la Charte des Droits de la Famille. L’Europe, qui rejette ses racines chrétiennes, connaît une régression morale inquiétante qui pourrait la conduire à l’autodestruction. Des penseurs non chrétiens commencent à se lever et à réagir. Benoît XVI a bien raison : les temps sont vraiment propices à un retour à Dieu, mais les Augustins et les enfants prodigues de notre temps ne pourront opérer ce retour que s’ils sont évangélisés par des apôtres courageux et zélés ! Osons parler de Dieu le Père et de son Fils Jésus-Christ qui est venu révéler le vrai visage de Dieu. Peu importe si nous tremblons. Imitons Saint Paul et croyons en l’action du Saint Esprit et en sa Puissance. Jean-Paul II nous a demandé d’avancer au large et de jeter les filets. Faisons confiance à Benoît XVI : les temps sont propices à un retour à Dieu. L’homme d’aujourd’hui a soif d’amour. Où trouvera-t-il le seul Amour qui puisse étancher la soif de son âme ? En Dieu seul, Son Créateur et Son Rédempteur, qui est le Dieu Amour !

g) Ô Mon Peuple, que t’ai-je fait, en quoi t’ai-je contristé ?

En ce temps de relativisme et d’apostasie, méditons les impropères du Vendredi Saint. Comment ne pas être bouleversés par cet appel déchirant de notre Dieu ? Nietzsche, qui avait été baptisé, a dit à l’aube du vingtième siècle : « Dieu est mort ! Dieu reste mort ! Et c'est nous qui l'avons tué ! Ne sommes-nous pas forcés de devenir nous-mêmes des dieux simplement — ne fût-ce que pour paraître dignes d'eux ? ». Dieu s’adresse à notre Europe apostate : « Ô Mon Peuple, que t’ai-je fait, en quoi t’ai-je contristé ? » Faisons connaître ces impropères. Des cœurs se repentiront et s’ouvriront à Dieu.

h) Le retour à Dieu par le triomphe du Cœur immaculé de Marie

Nous concluons cette consigne de rentrée en vous rappelant celle du mois d’août. Don Gobbi va nous faire découvrir le plan de Dieu révélé par Notre-Dame à Fatima : le triomphe du Cœur immaculé de Marie. Les temps sont bien propices à un retour à Dieu, parce que Dieu le veut et le réalisera par le triomphe du Cœur immaculé de Marie. Le retour à Dieu des enfants prodigues que nous sommes sera, comme pour la conversion d’Augustin, une œuvre de la Grâce divine. Prions et agissons pour hâter le triomphe du Cœur immaculé de Marie et le retour de Dieu dans le cœur des hommes.

4) Liturgie :

5 sept : vœux de sœur Marie-Catherine et sœur Rose-Marie ; 8 sept. : nativité de la Sainte Vierge ; 11-13 sept : pèlerinage en Provence ; 14 sept : Fête de la Croix glorieuse ; 15 sept. : Notre-Dame des douleurs ; 29 sept. : fête des Saints Archanges.

5) Formation :

Actes du Forum et vidéos de la Session sur la transmission de la Foi.

Notez bien sur vos agendas la date de la Grande Fête de Notre-Dame des Neiges : samedi 11 décembre 2010 avec le thème : Notre-Dame des Neiges et la transmission fidèle de la Foi.

Je vous bénis affectueusement en vous assurant des prières de Mère Magdeleine et de nos frères et sœurs. Soyons très unis à notre Pape Benoît XVI. Nous nous confions à vos prières.

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