avril 2013 : Le mystère de la médiation de grâces de Notre Mère céleste
Du 24 au 31 : Le mystère de la médiation de grâces de Notre Mère céleste.
En cette dernière semaine du mois de Marie, méditons attentivement ce dernier article du guide de lecture du CEC :
« Anticipant la Résurrection finale, présente au Ciel et partageant la gloire du Père avec son Fils et l’Esprit, la Vierge, parfaite image de l’Eglise, en est aussi la Mère, comme elle est la mère de tous dans l’ordre de la grâce (CEC 967). Elle est médiatrice de notre salut, participant à sa place de créature rachetée à l’unique médiation du Rédempteur (CEC 970) ».
Jean-Paul II, dans son Encyclique sur la Vierge Marie, Mère du Rédempteur, a exploité au maximum l’enseignement de Vatican II sur l’action maternelle de Notre-Dame dans l’Eglise, dans le monde et dans nos vies. Ne nous contentons pas d’un approfondissement seulement intellectuel de ce mystère. La Vierge Marie participe, en son corps glorifié et en son âme, au mystère de la Résurrection de Jésus, son Fils.
Jésus est le Vivant, elle est la Vivante ! Que notre dévotion soit plus affectueuse envers notre Mère céleste. Imitons Saint Bernard qui a permis à la France de développer sa dévotion mariale. Imitons Saint Louis-Marie Grignion de Montfort et Jean-Paul II et n’ayons pas peur de dire et redire à la Vierge Marie : « je suis tout à toi, Marie, tout ce qui est à toi est à moi et tout ce qui est à moi est à toi. Totus tuus. Ad Jesum par Mariam ».
Prions bien Sainte Jeanne d’Arc les 8 et 30 mai et confions-lui la conversion de notre Nation, Fille aînée de l’Eglise.
Vivons bien la Fête de la Visitation, le 31 mai, en demandant à la Vierge Marie, un cœur jeune, ardent et missionnaire. Le renouveau de la France dépend de la foi et de l’ardeur d’amour de ses membres. Ayons confiance en cette conviction de Mère Marie Augusta : « il faut des centaines de mécréants pour pervertir une population, il suffit d’un apôtre véritable, d’un seul pour sauver le monde entier du naufrage ! » Benoît XVI ne s’est pas trompé, notre Pape François ne se trompe pas : l’urgence de la mission de l’Eglise, l’urgence des urgences est le retour de Dieu dans le cœur des hommes. Témoignons de Jésus, portons Jésus, donnons Jésus.