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Marthe Robin-Communion-Avortements

Publié le dans la rubrique (In Altum n° 122)

Rome défend Marthe Robin et bonnes nouvelles de Pologne

Rome défend Marthe Robin

Un livre semant le doute a été publié fin septembre sur la sainteté de Marthe Robin, où l’auteur, un théologien belge mort en 2019, déclare qu’elle n’a cessé de tromper son entourage sur son état réel de santé et sa vie mystique, qu’elle n’est qu’une faussaire coupable de plagiat. Alors que le diable et les médias s’en frottent les mains, la Congrégation pour la cause des saints a réagi en rappelant que le rapport du Père de Meester, expert au procès de béatification (et à ce titre tenu au secret professionnel…), était déjà connu, avait été dûment considéré, mais rejeté, parce que battu en brèche par tous les autres documents portés aux trois mille pages du ‘dossier de béatification’. La conclusion est sans appel : « Sur la base de la totalité des documents et des mises au point ajoutées par la Postulation, [les membres de la Congrégation] ont émis un jugement positif quant à l’héroïcité des vertus de Marthe Robin. »

Communier dans la main : pas si sûr !

Un journal polonais a publié dernièrement une lettre ouverte dans laquelle plus de soixante médecins affirment qu’en temps d’épidémie, la communion sur la langue est plus sûre que dans la main. Ils s’interrogent sur les motifs de l’interdiction de la première et soulignent que les mains sont le « point de contact » entre les corps humains et leur environnement : « Même si nous désinfectons nos mains avant d’entrer dans l’église, nous devons nous rappeler que pendant al Messe, elles touchent de choses ou des endroits que nous n’avons pas désinfectés : bancs, vêtements, lunettes, cheveux, etc. » Quant à la communion debout, elle favorise l’infection mutuelle du prêtre et du fidèle, dont les vidages sont tout proches. Bref, « du point de médical, donner la Sainte communion directement dans la bouche et à genoux est une méthode décidément plus sûre et plus appropriée que de la recevoir dans la main et debout ». Heureusement qu’on n’a pas besoin de raison hygiénique pour s’en convaincre

Bonnes nouvelles pour la Vie

Le Tribunal constitutionnel de Pologne (répondant à une initiative citoyenne) a estimé, ce 22 octobre, que l’avortement eugénique, pour malformation grave du fœtus, était inconstitutionnel. Il concerne 90% des quelque mille avortements annuels dans ce pays, dont plus d’un tiers commis sur des trisomiques.

 En Grande-Bretagne, Heidi Crowter, jeune trisomique, a saisi la justice contre la loi permettant l’avortement dit « médical » jusqu’au terme, notamment en cas de trisomie 21. La Haute Cour d’Angleterre et Galles a jugé sa plainte recevable, et qu’ « on peut soutenir que l’État agit illégalement envers les bébés [trisomiques] en permettant leur avortement jusqu’à la naissance ». Procès à suivre.

 Enfin, trente-deux pays, dans le sillage des États-Unis, ont signé la Déclaration du Consensus de Genève, qui promeut la famille et s’oppose à l’avortement comme « droit de l’homme ». On peut y lire : l’avortement « ne devrait pas être promu comme une méthode de planification familiale », et il n’existe « aucun droit international à l’avortement ». En Europe, seules la Pologne, la Hongrie et la Biélorussie aiment la vie et ont signé. Pendant ce temps, en France, on allonge le droit de tuer, tout en pontifiant sur l’abolition de la souffrance des petites bêtes.

 

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