In Altum

Notre-Dame des Neiges, formez nos cœurs à votre image

Etre à l'écoute de l'Esprit Saint et suivre Jésus

Publié le dans la rubrique (In Altum n° 40)

Être Chrétien, c’est…

Avec sa paix, Jésus donna aussi l’Esprit Saint aux apôtres, afin qu’ils puissent répandre dans le  monde le pardon des péchés. L’Esprit du Christ Ressuscité chasse la peur du cœur des apôtres et les  pousse à sortir du Cénacle pour apporter l’Évangile. Ayons nous aussi plus de courage pour  témoigner de la foi dans le Christ Ressuscité ! Nous ne devons pas avoir peur d’être chrétiens et de  vivre en chrétiens ! Nous devons avoir ce courage d’aller et d’annoncer le Christ Ressuscité. (Regina Caeli du 7 avril) Etre chrétiens ne se réduit pas à suivre des commandements, mais veut dire être en Christ, penser  comme Lui, agir comme Lui, aimer comme Lui ; c’est Le laisser prendre possession de notre vie et la  changer, la transformer, la libérer des ténèbres du mal et du péché. Chaque jour, nous devons laisser le Christ nous transformer et nous configurer à Lui ; cela signifie  vivre en chrétiens, chercher à le suivre, même si nous voyons nos limites et nos faiblesses. (Catéchèse du 10 avril)

 L’Esprit-Saint, la Miséricorde et la Mission

Le chrétien oppose parfois de la résistance à l’Esprit, et pour le dire clairement, l’Esprit-Saint nous dérange. Car il nous remue, il nous fait marcher, il pousse l’Eglise à avancer. Et nous sommes comme Pierre à la Transfiguration : “Ah, qu’il est heureux que nous soyons ici, tous ensemble !” … mais que cela ne nous dérange pas ! Dans notre vie personnelle aussi, dans notre vie privée, la même chose arrive : l’Esprit nous pousse à prendre une route plus évangélique et nous disons : “Mais non, ça va bien ainsi, Seigneur...”. Nous voulons que l’Esprit-Saint s’assoupisse. Nous voulons apprivoiser l’Esprit-Saint. Et cela ne va pas. Car il est Dieu et il est ce vent qui va et vient, et on ne sait d’où il vient. Il est la force de Dieu ; il donne la consolation et la force pour aller de l’avant. Et ceci dérange. Le confort est meilleur. N’opposons pas de résistance à l’Esprit-Saint qui vient à nous et nous fait avancer sur la route de la sainteté. (Homélie du 16 avril) Auprès du Père, Jésus est notre intercesseur, notre avocat comme le dit Jean dans sa première épître. Qu'il est beau d'entendre cela ! Lorsque quelqu'un va au tribunal, la première chose qu'il fait est de trouver un avocat. Nous, nous en avons un qui nous défend toujours des assauts du malin, de nous mêmes et de nos péchés. N'ayons pas peur d'aller vers lui et de demander pardon, de demander sa bénédiction, sa miséricorde. Il pardonne toujours et nous défend toujours. Il nous a ouvert la voie et comme un chef de cordée parvenu au sommet, il nous guide vers le but. En lui confiant notre vie et en nous laissant guider nous sommes assurés d'être en de bonnes mains. (Catéchèse du 17 avril) J’ai vu qu’il y a de nombreux jeunes sur la place. Les voilà ! Je vous dis  : portez de l’avant cette certitude : le Seigneur est vivant et marche à  nos côtés dans la vie. Telle est votre mission ! Portez de l’avant cette  espérance. Soyez ancrés à cette espérance : cette ancre qui est dans le  ciel ; tenez ferme la corde, soyez ancrés et portez de l’avant  l’espérance. Vous, témoins de Jésus, portez de l’avant le témoignage  que Jésus est vivant et cela nous donnera de l’espérance, donnera de  l’espérance à ce monde un peu vieilli par les guerres, par le mal, par le  péché. En avant les jeunes ! (Catéchèse du 3 avril)

La Paix, la Foi, la Joie

La paix soit avec vous ! » Ce n’est pas un salut, ni un simple vœu : c’est  un don, et même le don précieux que le Christ offre à ses disciples.  Cette paix est le fruit de la victoire de l’amour de Dieu sur le mal, c’est  le fruit du pardon. Et il en va ainsi : la vraie paix, la paix profonde,  vient de l’expérience de la miséricorde de Dieu. (Regina caeli du 7 avril) Aller à Jésus, trouver Jésus, connaître Jésus est un don du Père. La foi est un don. À la question : « en quel Dieu crois-tu ? » tant de fois la réponse est “en Dieu”, mais un dieu diffus, un dieu-aérosol, qui est un peu partout mais dont on ne sait pas ce qu’il est. Nous, nous croyons en un Dieu qui est Père, qui est Fils, qui est Esprit-Saint. Nous croyons en des Personnes, et quand nous parlons avec Dieu, nous parlons avec des Personnes : soit je parle avec le Père, soit je parle avec le Fils, soit je parle avec l’Esprit-Saint. C’est cela, la foi. La joie de la foi, la joie d’avoir rencontré Jésus, la joie que Jésus seul nous donne, la joie qui donne la paix : non pas celle que donne le monde, mais celle que donne Jésus. Voilà notre foi. Il s’agit d’avancer avec courage : nous avons toujours quelque chose qui ne va pas, mais le Seigneur nous pardonne si nous lui demandons pardon, et nous continuons à aller de l’avant, sans nous décourager. Grandissons dans cette foi, cette foi qui nous rend forts, qui nous rend joyeux, cette foi qui commence toujours par la rencontre avec Jésus et qui se poursuit toujours dans notre vie par des petites rencontres quotidiennes avec Jésus. (Homélie du 18 avril)

 La Résurrection

Que signifie la Résurrection pour notre vie ? Et pourquoi notre foi est-elle vaine sans elle ? Notre foi se fonde sur la Mort et la Résurrection du Christ, précisément comme une maison s’appuie sur des fondements : si ils cèdent, toute la maison s’écroule. (Catéchèse du 10 avril) La rencontre avec le Réssuscité transforme, elle donne une force nouvelle à la foi, un fondement inébranlable. il existede nombreux signes où le Ressuscité se fait reconnaître: L'Ecriture Sainte, l'Eucharistie, les autres sacrements, la charité, ces gestes d'amour qui portent un rayon du Ressuscité. Laissons-nous illuminer par la Résurrection du Christ, laissons-nous transformer par sa force, pour qu’à travers nous également, dans le monde, les signes de mort laissent place aux signes de vie. (Catéchèse du 3 avril)

 La vocation

Parfois, Jésus nous appelle, nous invite à le suivre, mais il peut arriver que nous ne nous rendions pas compte que c’est lui, comme c’est arrivé au jeune Samuel. Il y a beaucoup de jeunes aujourd’hui ici, sur la place. Je voudrais vous demander : vous avez parfois entendu la voix du Seigneur qui, grâce à un désir, une inquiétude, vous invitait à le suivre de plus près ? Vous avez eu envie d’être les apôtres de Jésus ? La jeunesse, il faut la mettre en jeu pour de grands idéaux. Demande à Jésus ce qu’il veut faire de toi et sois courageux ! (Regina Caeli du 21 avril)

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