Lundi 25 mai : le contexte historique des XVIe et XVIIe s.
Neuvaine du 19 avril au 19 juin 2020
en préparation à notre consécration aux Cœurs de Jésus et de Marie
Lundi 25 mai : les XVIe et XVIIe siècles : entre ombres et lumières
Tout cela n’est que l’ombre de ce qui devait venir...
"Tout cela n’est que l’ombre de ce qui devait venir, mais la réalité, c’est le Christ." (Col 2, 17)
Nous voici arrivés aux XVIe et XVIIe siècles. Nous allons découvrir la grande richesse des ces siècles où l’effervescence des découvertes va permettre de développer les arts, la pensée, la spiritualité, tout en passant par des crises qui seront des opportunités à l’éveil de saints missionnaire, éducateurs, prédicateurs et pleins de charité ! Dieu, maître de l’histoire, est toujours à l’œuvre chez la fille aînée de l’Eglise !
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Pour aller plus loin...
En venant à Paray-le-Monial en 1986, Jean-Paul II nous rappelait le message de Sacré-Cœur que Jésus avait confié ici à la France, par l'intermédiaire de Sainte Marguerite-Marie. Voici ce qu'il disait lors de son homélie du 5 octobre :
"Par le Cœur de son Fils, transpercé sur la Croix, le Père nous a donné tout, gratuitement. L’Eglise et le monde reçoivent le Consolateur: l’Esprit Saint. Jésus avait dit : “Si je pars, je vous l’enverrai”, Son cœur transpercé témoigne qu’il “est parti”. Il envoie désormais l’Esprit de vérité. L’eau qui coule de son côté transpercé est le signe de l’Esprit Saint: Jésus avait annoncé à Nicodème la nouvelle naissance “de l’eau et de l’Esprit”. Les paroles du Prophète s’accomplissent : “Je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau”.
Sainte Marguerite-Marie a connu ce mystère admirable, le mystère bouleversant de l’Amour divin. Elle a connu toute la profondeur des paroles d’Ezéchiel : “Je vous donnerai un cœur”.
Tout au long de sa vie cachée dans le Christ, elle fut marquée par le don de ce Cœur qui s’offre sans limite à tous les cœurs humains. Elle était saisie tout entière par ce mystère divin, comme l’exprime l’admirable prière du psaume de ce jour :
“Bénis le Seigneur, ô mon âme, bénis son nom très saint, tout mon être !” “Tout mon être”, c’est dire “tout mon cœur”!
Bénis le Seigneur ! . . . N’oublie aucun de ses bienfaits ! Il pardonne. Il “guérit”. Il “réclame ta vie à la tombe”. Il “te couronne d’amour et de tendresse”. II est bon et plein d’amour. Lent à la colère. Plein d’amour : d’amour miséricordieux, Lui qui se souvient “de quoi nous sommes pétris”. Lui. Vraiment lui, le Christ."