Jeudi 18 juin : une génération se lève !
Neuvaine du 19 avril au 19 juin 2020
en préparation à notre consécration aux Cœurs de Jésus et de Marie
Jeudi 18 juin : une nouvelle génération de catholiques déterminés répond à l'appel !
Choisis donc la vie !
"Je mets devant toi la vie ou la mort, la bénédiction ou la malédiction. Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance, en aimant le Seigneur ton Dieu, en écoutant sa voix, en vous attachant à lui ; c’est là que se trouve ta vie, une longue vie sur la terre que le Seigneur a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob." (Dt 30, 19-20)
Alors que l’évènement connu sous le nom de « mai 68 » soulève en France et dans l’Église un véritable vent de folie, les voyages des Papes sur notre terre ont permis de former d’authentiques dissidents aux cultures de la mort. Ceux qui répondirent à cet appel aiment s’appeler « la génération Jean Paul II »…
La vidéo
Pour aller plus loin...
Ré-écoutons aujourdhui un extrait du message de Jean-Paul II aux jeunes de France en 1980 :
"Vous valez aussi ce que vaut votre cœur. Toute l’histoire de l’humanité est l’histoire du besoin d’aimer et d’être aimé. Cette fin de siècle - surtout dans les régions d’évolution sociale accélérée - rends plus difficile l’épanouissement d’une saine affectivité. C’est sans doute pourquoi beaucoup de jeunes et de moins jeunes recherchent l’ambiance de petits groupes, afin d’échapper à l’anonymat et parfois à l’angoisse, afin de retrouver leur vocation profonde aux relations interpersonnelles. A en croire une certaine publicité, notre époque serait même éprise de ce que l’on pourrait appeler un doping du cœur.
Il importe en ce domaine, comme dans les précédents, de voir clair. Quel que soit l’usage qu’en font les humains, le cœur - symbole de l’amitié et de l’amour - a aussi ses normes, son éthique. Faire place au cœur dans la construction harmonieuse de votre personnalité n’a rien à voir avec la sensiblerie ni même la sentimentalité. Le cœur, c’est l’ouverture de tout l’être à l’existence des autres, la capacité de les deviner, de les comprendre. Une telle sensibilité, varie et profonde, rend vulnérable. C’est pourquoi certains sont tentés de s’en défaire en se durcissant.
Aimer, c’est donc essentiellement se donner aux autres. Loin d’être une inclination instinctive, l’amour est une décision consciente de la volonté d’aller vers les autres. Pour pouvoir aimer en vérité, il faut se détacher de bien des choses et surtout de soi, donner gratuitement, aimer jusqu’au bout. Cette dépossession de soi - œuvre de longue haleine - est épuisante et exaltante. Elle est source d’équilibre. Elle est le secret du bonheur.
Jeunes de France, levez plus souvent le yeux vers Jésus-Christ ! Il est l’Homme qui a le plus aimé, et le plus consciemment, le plus volontairement, le plus gratuitement..."