Qu’est-ce que les foyers amis de Notre Dame ?
Un objectif : la poursuite de la sainteté conjugale.
Un mouvement de laïcs
Les Foyers-amis de Notre Dame sont un mouvement de laïcs engagés auprès de la Famille Missionnaire de Notre Dame, partageant le charisme de la Communauté dans l’éducation des coeurs.
Pour nous parents, notre premier devoir d’état étant l’éducation de nos enfants, le Père Dorne parlait même d’une passion de l’éducation.
Un engagement à deux
Les Foyers-amis de Notre Dame sont une forme d’oblature unique en son genre dans l’Eglise car notre engagement se fait à 2. C’est un engagement en ménage dans le prolongement de notre sacrement de mariage.
Fidélité au Magistère
L’objectif est la poursuite de la sainteté conjugale en prenant comme moyens : la prière, les sacrements, notre directoire qui est notre règle de vie écrit par le Père Dorne, et des choix de vie dans la fidélité au Magistère.
Le Magistère, don de Dieu : si nous sommes animés par l’amour de l’Esprit Saint nous recevons ses enseignements avec joie et confiance car nous savons que le Christ nous parle en Vérité et permet à nos consciences de vivre dans cette Vérité.
Le soutien de la Famille Missionnaire
En étant foyers amis, nous faisons le choix de la foi, bien sûr, mais de l’obéissance à la foi. Pour cela nous avons besoin de l’aide et du soutien de la Communauté, nous unissant et nous imprégnant de son charisme de l’éducation des cœurs dans nos familles, dans la fidélité à tout ce que Jésus nous a enseigné.
Le Père Dorne a toujours voulu ce mouvement des foyers amis, c’est un trésor qu’il nous a laissé qui nous permet de vivifier notre vie conjugale. C’est une joie et une force pour nous de vivre cet engagement auprès de la Communauté et dans un grand soutien entre nous tous.
Le Père Dorne avait un très grand respect pour la vie conjugale et tout ce qu’il nous en a transmis est plein d’espérance.
La devise des Foyers-amis : jamais rien l'un sans l'autre
Concrètement nous avons le directoire écrit par le Père Dorne et notre principe est le « jamais rien l’un sans l’autre » du Père et de Mère Marie Augusta.